Qu'est-ce que le KYC ?

Pour évaluer le risque client, de nombreuses entreprises mettent en place ce que l’on appelle une procédure KYC (ou Know Your Customer). Pour les personnes physiques ou morales, la procédure KYC s’appuie généralement sur des processus manuels, souvent chronophages, pour se conformer aux réglementations et réduire le risque. Quelle est la définition du KYC ? Quels sont ses avantages ? Comment est-ce concrètement mis en œuvre en entreprise ? Réponses dans cet article !

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KYC : définition

La procédure KYC consiste à vérifier l’identité et l’intégrité des clients. Un protocole qui est en fait déjà nécessaire aux entreprises par la mise en place d’une réglementation européenne visant à prévenir la fraude, le blanchiment, la corruption, etc.

Des données sont ainsi collectées et analysées afin de vérifier l’identité d’un individu. Ce procédé est mis en place dès les premiers contacts avec le client, mais aussi tout au long de la relation entre l’entreprise et ce dernier. Dans une banque, cela passe notamment par l’examen des transactions pour évaluer celles qui seraient potentiellement à risque. La définition du KYC concerne les banques, mais aussi les sociétés dans le conseil ou encore l’investissement par exemple. On peut aussi citer les professionnels, du droit, de l’assurance, etc.

Avec des règlementations toujours plus strictes sur les obligations des entreprises visant à contrôler l'identité de leurs clients, l'authenticité des documents qu'ils fournissent lors de l'onboarding

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Quels sont les avantages de ce protocole ?

Dès lors que l’on comprend la définition du KYC, on peut s’intéresser aux avantages de cette procédure. En effet, s’il résulte des réglementations en vigueur, il n’en reste pas moins qu’il représente certains avantages pour de nombreuses entreprises. On peut notamment citer :

S’assurer de la légitimité et de la transparence de chaque transaction monétaire
Lutter contre les activités criminelles
Éviter certaines problématiques juridiques et fiscales
Créer un environnement de confiance avec sa clientèle

Toute entreprise qui souhaite respecter les réglementations en vigueur et assurer sérieux et sécurité à sa clientèle se doit donc de maitriser la définition du KYC et d’appliquer le protocole dans ses activités quotidiennes que ce soit au moment du onboarding client, mais aussi tout au long de la relation.

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Quels outils pour une mise en œuvre efficace ?

Selon la définition du KYC, il existe plusieurs manières de mettre en place ce processus. L’utilisation d’une intelligence artificielle et d’outils dédiés est un moyen efficace de parvenir à traiter l’ensemble des données souhaitées. En effet, le volume de données à analyser et à prendre en compte peut être véritablement colossal. Avec un outil adapté et basé sur une intelligence artificielle paramétrée pour son activité, on peut non seulement gagner un temps précieux, mais aussi choisir une solution plus fiable et moins coûteuse.

Il existe de nombreuses entreprises qui sont justement spécialisées dans la mise à disposition de ce type d’outils pour les sociétés qui souhaitent faire appliquer le protocole KYC (chez Archipels, nous opérons la vérification documentaire avec notre solution Archipels Verify). Sur mesure, ces outils permettent d’automatiser un certain nombre d’actions et d’être alerté en cas de doute pour faire intervenir un membre de l’équipe de l’entreprise. Le contrôle en temps réel reste alors envisageable avec une intervention humaine uniquement lorsque cela sera nécessaire. Ces outils restent les meilleurs leviers pour faire face aux enjeux relatifs au protocole KYC.

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